Comportement piqueur du moustique
Les moustiques femelles se nourrissent de sang pour permettre le développement de leurs œufs. Ce repas sanguin est souvent issus de multiples piqûres faites sur un ou plusieurs
hôtes
Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir.
. Certains moustiques se nourrissent de sang provenant de différentes espèces, tandis que d'autres ont une préférence pour un type d'
hôte
Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir.
spécifique. Cependant, la majorité des moustiques ne se nourrissent pas de sang humain mais plutôt de sang animal, tant de mammifères, que d’amphibiens ou d’oiseaux.
Outre la préférence d’
hôtes
Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir.
spécifiques, les différentes espèces de moustiques se distinguent également quant à la période de la journée où ils cherchent activement à se nourrir. Le moustique domestique commun (Culex pipiens) est principalement actif le soir et la nuit, tandis que le moustique tigre (Aedes albopictus) est actif pendant la journée (voir tableau ci-dessous). De plus, l'endroit où ils vont chercher leur repas peut également différer ; par exemple, le moustique domestique commun pique principalement à l'intérieur, tandis que le moustique tigre pique à l'extérieur.
Lors de la recherche du repas sanguin, les moustiques utilisent ces différents signaux pour localiser leur hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. :
- Le dioxyde de carbone (CO2) émis par l’ hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir.
- Les signaux visuels
- Les odeurs spécifiques à l’ hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir.
- La chaleur et l’humidité du corps de l’ hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir.
Les antennes du moustique jouent un rôle crucial en faisant office d’organe olfactif. Elles permettent de détecter le dioxyde de carbone émis durant la respiration de l’ hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. jusqu’à une distance de 50 mètres. Comme la quantité de dioxyde de carbone émise dépend de la taille de l' hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. , le moustique est alors capable de distinguer sa préférence d’ hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. à distance. Une fois arrivé à une dizaine de mètres de l’ hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. , les moustiques peuvent également le voir et sont attirés (ou non) par ses odeurs spécifiques. La chaleur et l'humidité du corps sont ensuite détectées par les moustiques à une distance de 1 à 2 mètres.
Certaines personnes sont plus souvent piquées par les moustiques que d'autres. Cela est dû aux différentes bactéries présentes sur la peau, dont la composition est propre à chaque individu. Cette flore bactérienne transforme les substances produites par l'organisme en
métabolites
Substance organique intermédiaire ou issu du métabolisme. Les métabolites humains qui attirent les moustiques sont des composants volatils de la sueur, tels que l’ammoniac, l’acide lactique et l’acide carboxylique.
. La composition de ces
métabolites
Substance organique intermédiaire ou issu du métabolisme. Les métabolites humains qui attirent les moustiques sont des composants volatils de la sueur, tels que l’ammoniac, l’acide lactique et l’acide carboxylique.
diffèrera donc également en fonction de la personne, ce pourquoi les moustiques sont plus attirés par certaines personnes que d’autres.
Les moustiques peuvent adapter leur comportement en fonction de certains facteurs, tels que les mesures anti-moustiques. Dans de telles situations, les moustiques peuvent piquer un autre hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. ou modifier leur période d’activité.
Tableau : Comportement piqueur des différentes espèces de moustiques (liste non exhaustive).
Espèce de moustique | Comportement piqueur | hôte Organisme qui peut héberger un agent pathogène. Dans le contexte de l’écologie du moustique, par exemple un hôte humain ou hôte animal, ce terme fait référence à l’organisme auprès duquel le moustique cherche à se nourrir. principal | |
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Lieu d'activité | Heure d'activité | ||
Culex pipiens sensu lato | Principalement à l’intérieur | Après le coucher du soleil, pendant la nuit | Humains et autres mammifères, oiseaux |
Culiseta annulata | Intérieur et extérieur | Pendant la nuit | Humains et autres mammifères, oiseaux |
Aedes albopictus | Principalement à l’extérieur | Le jour, très actif le matin et au crépuscule | Humains et autres mammifères, oiseaux, reptiles et amphibiens |
Aedes aegypti | Principalement à l’intérieur | Le jour, très actif le matin et l'après-midi | Humains et sporadiquement animaux domestiques |
Aedes japonicus | Principalement à l’extérieur | Le jour, très actif au crépuscule | Humains et autres mammifères |
Aedes koreicus | Principalement à l’extérieur | Le jour et la nuit | Humains et autres mammifères |
Anopheles plumbeus | À l’extérieur | Le jour, très actif au crépuscule | Humains et autres mammifères, oiseaux et reptiles |